À l’échelle mondiale, 3 milliards de personnes survivent avec 2,50 $ par jour ou moins et quelques 2 milliards de personnes ne possèdent pas de compte bancaire ou n’ont pas accès à des services financiers de base.
Quand on vit dans la pauvreté, les options sont limitées et il y a peu d’occasions de sortir de la misère. En cas de difficultés imprévues, bon nombre d’entre nous n’avons qu’à appeler notre banque pour obtenir les fonds nécessaires. Mais des milliards de personnes confrontées aux aléas de la vie doivent faire des compromis déchirants et prendre des décisions difficiles qui peuvent les désavantager pendant des années.
Beaucoup d’habitants des régions les plus économiquement éprouvées du monde ont longtemps été exclus du système bancaire, sans accès aux outils financiers de base ni possibilité d’améliorer leur sort.
De plus, des centaines de millions de personnes n’ont pas d’électricité et doivent recourir à des options polluantes et coûteuses pour s’éclairer, se chauffer et cuisiner (lampes au kérosène, bois de chauffage, réchaud au charbon, etc.), ce qui affecte leur santé respiratoire et oculaire.
- Chaque jour, les heures de travail sont écourtées.
- Les risques d’incendie sont omniprésents dans les habitations.
- Les enfants ne peuvent pas étudier le soir sans éclairage.
- Les femmes et les filles sont souvent chargées de ramasser le bois de chauffage et de transporter l’eau.
Sans revenu pour subvenir à leurs besoins et sans accès à des produits améliorant leur bien-être, de nombreuses personnes n’arrivent pas à se sortir de la précarité.